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Chef de la lune rouge ! Aah, cela pouvait sembler être un titre superbe aux yeux des membres ou un titre effrayant aux yeux des ninjas légaux, je savais que ça allait être plus un fardeau qu’autre chose, en faites, gérer un rassemblement de ninja déserteurs c’était pas tout simple, je vous l’assure. De plus, de part ce titre, logiquement c’était à moi que revenait tout le salle boulot. Trier la paperasse, organiser nos bingo book, mais bon tout cela je l’assumais, après tout j’était certainement un des ninjas les plus puissant du monde shinobi. Et aujourd’hui, La lune Rouge gouvernée par le plus grand Uchiha allait être l’organisation la plus crainte, la plus terrible et la plus respectée de toute l’histoire. Il était temps de réunir les neufs bijûu maudits. Il était temps de terrasser tout nos opposant, il était temps pour l’Akatsuki d’émerger en ce monde et de ce faire connaitre ! Bien sûr, rien ne devait aller plus loin que la propagande que j’allais moi-même exercer. Aucunes informations ne devaient être transmises sans mon autorisation, mais bien sûr, dans ce monde comme dans tout les autres, il y avait des fouineurs. Ces gens-là était la cible du chef de la lune sanglante, ces gens là était ma cible ! Il était temps pour moi de me mettre en route, je n’avais aucunes pensées en tête, moi, qui désormais était à la tête de neuf Nukenins craint, je devais bien me faire voir, je devais rester impassible, invincible. Je devais éliminer tout ceux qui osait se dresser face à moi. J’entras lentement dans la salle qui m’était réservée. J’approcha près du tableau que j’avais moi-même rédigé et de mon sang je laissas une empreinte de mon passage, une croix sur une mission de rang B. Le chef de l’Akatsuki allait aujourd’hui se farcir du ninja, j’était impatient de détruire ces êtres qui à peine au début de l’apogée de l’Akatsuki avaient fourrés leur nez dans nos affaires, et bien cette leçon allait être radicale, puisque c’était leur mort mon objectif. J’enfila mon long manteau noir au motifs rouges, puis recouvra mon crâne par un sublime chapeau de paille, dans cet accoutrement, personne ne saurait mon identité, et, je ne voulais justement pas que l’on sache qui je suis, malgré la force de mon équipe je devais rester discret, mes membres étaient très peu et je ne devais pas créer un scandale dans n’importe quel village qui soit. C’est pour cela qu’après avoir enfilé ma tenue, je sortis de la grotte avec pour destination, le Pays de la Foudre. Je devais interceptés un ninja qui avait réussis à trouver le lieu de notre grotte, je n’avais pas d’autre choix que de l’éliminer cruellement. Après tout, cela ne ferait de mal aux villages ninjas de voir l’étendue de ma puissance.


Bien il était temps de prendre la route, donc j’étais correctement vêtu et prêt à tuer n’importe quel être qui oserait se dresser face à moi, j’en avais un peu marre des rigolos qui se croyaient tout permis en fouinant dans mes affaires, cette fois il fallait frapper, et fort. Je sortis de la grotte, mon visage camouflé par mon grand chapeau de paille et mon corps dissimuler sous mon manteau de la lune rouge. Le temps était agréable, un soleil totalement libre, aucun nuage pour l’embêter, malgré le fait que la boule de feu soit seule, la chaleur était raisonnable. Il était donc temps pour moi de me mettre en route pour le village ninja de la foudre, autrement dit Kumo, je devais intercepter un ninja espion avant que celui-ci n’entre dans le champs de vision du village, car après cela j’allais me retrouver avec ses coéquipiers sur les fesses, et j’en avais franchement pas envie. Un ninja dans la journée me suffisais, je fis un modeste saut, m’accroupissant sur la branche d’arbre, puis j’exerça une pulsion qui m’envoya en avant, à chaque fois que mes pieds frôlaient une branche, le mécanisme se répétait, avec cette cadence j’allais certainement rattrapé le ninja rapidement, le seul problème était en faites de savoir qu’elle chemin il avait emprunté à partir du Pays de la foudre, car malgré sa discrétion s’était un très grand pays. Mais j’aurais le temps d’y repenser plus tard, pour l’instant l’heure n’était pas au réflexions. Une fois la forêt traversée, il me restait une gigantesque plaine à franchir, j’étais déjà lasser de cette longue route … mais là ça dépassait le tout, mais bon je n’avais pas vraiment le choix, au l’autre bout de cette plaine se trouvait les frontières du pays de la foudre, les immenses montagnes de Kumo. Les gravirent était très simple pour moi, car j’avais appris à trouver les failles de chaque frontières, je connaissais un petit passage qui me ferait gagné bien du temps, avant cela je devais franchir cette maudite plaine.
Quelques heures plus tard, j’avais enfin terminé de passer cette plaine, je me trouvais face au montagne de Kumo, utilisant le suimen, je marchas rapidement sur la petite rivière, mon chemin me permis de rejoindre l’autre côté de la montagne en à peine une heure, un exploit. Désormais je devais choisir le bon chemin, j’avais bien des solutions, c’est pour cela que rapidement je croisas mes doigts laissant apparaitre un nuage de fumée épais. Cachés dans la fumée, des clones de l’ombre. Autrement dit des parfaites répliques de moi, capable de combattre, d’un signe bref de la main nous nous dispersâmes et entamèrent nos recherches. Finalement cela n’était pas une tâche difficile, il fallait simplement que je tombe du premier coup sur le ninja. L’original, c’est-à-dire moi, avais choisis la route la plus courte, en toute logique un ninja sachant qu’il allait être poursuivit aurait choisit cette trajectoire. Plus j’avançais, plus je m’enfonçais dans une forêt lugubre, je commençais sérieusement à me demander si j’avais pris le bon chemin ! Mais finalement, quelques mètres plus loin j’entendis un bruit puissant. Une cascade ! J’avanças rapidement vers cette cascade mystérieuse, et finalement, en sortant de la forêt, je fus éblouis par l’intensité de la lumière dans ce coin. La seule chose que je pus apercevoir fut cette magnifique étendue d’eau bleu transparent entourée d’herbe et de fleurs mais aussi et surtout ce ninja portant un bandeau de Kumo à sa cuisse droite. Il était temps de passer aux choses sérieuses …

« Et bien, finalement, tu n’auras pas été très loin, car ta vie s’arrête ici. »

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